Le Hezbollah dans le rôle de la mafia et le premier ministre Saad Hariri dans celui du commerçant de quartier "protégé".
Rafik Hariri, ancien premier ministre et père de l'actuel a été assassiné en 2005.
Aujourd'hui un trinual international enquête sur cet assassinat et de fortes présomptions de culpabilité pèsent sur le Hezbollah et par ricochet sur le voisin syrien.
Bon, rien de neuf.
Sauf que le Hezbollah vient de faire une proposition assez hallucinante au premier ministre Saad Hariri.
Il lui offre "protection" et assistance dans le désarmenent de divers groupes palestiniens installés au Liban en échange d'un abandon de l'enquête en cours.
Grand seigneur le Hezbollah, rien à dire.
Cette tentative de conciliation entre le gouvernement libanais et le Hezbollah syriens est soutenue par l'Arabie Saoudite et paraît apparemment être la meilleure solution pour retrouver un semblant de
stabilité dans le pays.
Pour être tranquille, il faut satisfaire ceux qui vous menacent, c'est beau la politique.
« Pour être tranquille, il faut satisfaire ceux qui vous menacent »
RépondreSupprimerD'où la construction de nombreuses mosquées par chez nous.
(Ne vous fâchez pas, don Manuel : je dis ça juste pour tenter de tirer M. Fabrice de sa léthargie social-traîtresse...)
Pas mon style de m’énerver...
RépondreSupprimerQuand a Fabrice, il a très certainement mieux a faire, comme toujours.
"Pas mon style de m'énerver..."
RépondreSupprimerHum...
Quoi??!
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