Hier, les Gueules fêtaient leur premier anniversaire. Je peux maintenant admettre que je ne pensais pas que l'expérience durerait aussi longtemps.
Le principe était simple : réunir trois rédacteurs de billets politiques n'ayant pas les mêmes idées dans le but de confronter des valeurs différentes. Ces trois gaillards étaient de vieilles connaissances : trois amis de lycée ayant un réel intérêt pour la vie politique française et internationale, voire pour ce qui peut parfois se passer dans d'autres pays. Nous avions déjà commencé à débattre sur mon autre blog. Pourquoi ne pas poursuivre l'aventure ici ?
Il n'y avait aucun pré-requis. Nous n'avions fixé aucune fréquence de publication, aucune règle ni aucun principe. Ils se sont progressivement imposés par la pratique, autant entre nous qu'avec quelques-uns de nos commentateurs les plus chevronnés. Rapidement, le rythme des billets a été soutenu, et puis, ces derniers temps, tout a ralenti. La polémique avec les occidentalistes du mois d'avril n'y est pas pour rien, et une certaine lassitude aussi.
Je ne sais pas ce qu'il adviendra de ce blog dans les prochains mois, mais il reste l'un des seuls blogs collectifs politiques que je connais, fait par des copains, à avoir tenu aussi longtemps dans les hauts des classements de blogs. Espérons que cette belle aventure se poursuive encore. Je ne sais pas si elle t'a apporté quelque chose, cher lecteur, mais en tout cas, elle a resserré nos liens et c'est finalement la richesse de cette expérience.
Je voulais faire un bilan statistique de cette première année, mais je n'en vois pas franchement l'intérêt : les récurrents bilans mensuels se suffisent à eux-mêmes. Par contre, je voudrais remercier les quelques blogueurs qui nous ont régulièrement liés et, de fait et parfois à leur corps défendant, soutenus : Nicolas, Rubin, le Faucon, Gaël, Didier Goux, Mtislav ou encore Aurélien Véron. J'en oublie sûrement, mais ce sont les noms qui me sont venus, comme cela, sans réfléchir...
PS : pour fêter l'anniversaire, je lance un pari pour les commentateurs. A votre avis, lequel de nous trois est le métèque, lequel est le juif errant et lequel le pâtre grec ? Je ramasse les copies à mon retour de vacances.
Le juif errant, je parierais bien sur Manuel, du fait des sujets sur lesquels il écrit.
RépondreSupprimerEnsuite, je dirais métèque pour toi, Mathieu, et pâtre grec pour Fabrice, mais c'est un peu au pif, à cause d'une ou deux photos vues ici ou là :)
Ah ! le plus important : continuez !! C'est rarissime un blog à 3 voix qui tienne la route, de plus, il est très agréable, et c'est amusant de voir vos 3 personnalités.
RépondreSupprimerJe souhaite longue route aux trois gueules !
Oui, enfin, moi, je vous soutiens un peu comme la corde soutient le pendu, hein !
RépondreSupprimerMais il est vrai que j'aime les pensées massives et folkloriques. Donc, longue vie !
RépondreSupprimerJe vais encore faire mon chieur, mais prenez, encore et toujours, du plaisir. Sinon, faite autre chose.
RépondreSupprimerBon anniversaire à vous et bonne continuation
Tout d'abord ! Bon anniversaire et félicitations.
RépondreSupprimerFélicitations sincères ! J'en ai déjà parlé avec Mathieu : je ne crois pas aux blogs collectifs. D'ailleurs, tous ceux que je connais ont échoué.
Sauf deux : le vôtre et Ruminances.
Bravo...
Joyeux anniversaire les mecs.
RépondreSupprimerNicolas tu radotes, j'ai déjà lu ça quelque part :D
RépondreSupprimerC'est toujours un plaisir de vous lire...
RépondreSupprimerMerci
RépondreSupprimerben bien sûr qu'on soutient votre blog, c'est trés impressionnant un blog collectif aussi vivant et dynamique
RépondreSupprimerautrement on est tous un peu de tout ça, non (le juif errant, le pâtre grec et le métèque) ? ou alors un gros mélange du tout, n'en déplaise aux vieux réacs :)
@ Audine : merci, mais tu n'es pas au point sur ton pronostic.
RépondreSupprimer@ Didier : merci.
@ Faucon : du plaisir, toujours du plaisir, encore du plaisir.
@ Nicolas : merci.
@ Rubin : merci.
@ Mtislav : merci.
@ Dépannage informatique : ben quoi ?
@ Gaël : c'est vrai, mais chacun de nous trois est plus marqué que les autres.