jeudi 15 juillet 2010

Rencontre intergalactique dans le centre de la France.

Depuis ce matin, les autorités préfectorales de l'Allier sont en émoi.

Tous les groupements de gendarmerie ont été alertés. Les hélicoptères sont en pleine révision pour pouvoir effectuer un contrôle aérien serré. Depuis deux jours, des fans venus de tout le pays ont commencé à occuper les champs situés aux alentours du lieu de l'évènement.

En effet, dès demain et pour une durée de trois jours, les trois Gueules se retrouvent pour un sommet qui s'annonce fondateur. Tous les grands lobbies de la planète se mobilisent pour espérer influencer les trois auteurs. Depuis deux semaines, l'ambassade d'Israël s'est plié en quatre pour convaincre Manuel de faire un billet et d'influencer ses deux coauteurs pour qu'ils modifient leurs positions. Le Parti Communiste Internationaliste tente désespérément de persuader Fabrice de rédiger un billet, même un tout petit, pour que la lutte reprenne. Quant à moi, je viens de recevoir un courrier de chacun des seize syndicats enseignants pour avoir une dédicace.

Bon, ce type d'événement est suffisamment rare pour que j'en fasse un billet.

Publicité : le sommet intergalactique d'Avec nos Gueules est soutenu par l'office pour un Allier durable, la confédération des producteurs de Saint-Pourçain et le syndicat général des éleveurs de l'Allier.

Avertissement : la préfecture avertit que toute personne qui tentera de franchir le périmètre de sécurité autour des lieux du sommet sera immédiatement arrêtée. Toute personne sortant des lieux du sommet sera soumise à un contrôle drastique pour éviter qu'elle n'emporte le dernier billet de Fabrice, dont nous cherchons toujours la trace...

15 commentaires:

  1. Merde, j'ai crû à un retour de la feignasse pendant quelques lignes!!
    Mathieu, on évite de picoler avant de prendre la route...

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  2. J'espère que t'as raison, Nicolas, mais le blogueur muet n'est pas un gros buveur... Le prof, je crois qu'il assure, ton influence a eu des effets positif.
    Je crois qu'il faudrait envoyer Fabrice en stage chez Didier...

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  3. Eh oh, c'est pas une poubelle, Le Plessis-Hébert !

    (Smiley, mon Fabriçounet, smiley...)

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  4. @ Mathieu

    Trop de précisions géographiques, tu aurais dû rester plus vague : j'ai déjà dû repousser par deux fois des squatters trollesques partouzeurs de droite.

    @ Manuel

    Je concentre ma consommation d'alcool pour des occasions importantes. Ce soir par exemple...

    @ Nicolas

    J'ai prévu en effet une quantité que certains jugeraient déraisonnable de bouteilles...

    @ Didier

    Si d'aventure vous vous abaissiez à descendre de votre olympe fantasmée vous découvririez que je suis d'une compagnie exquise. Mais il faudrait oser sortir du chemin précautionneusement pavé qui vous guide...

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  5. Surprends moi mon Fabrice!
    Tu viens d'inviter Didier ou je rêve??!!

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  6. Fabrice : ah, mais je n'en doute nullement !

    Et vous avez vu ça où, vous, un chemin qui guide ?

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  7. @ Manuel

    Tu rêves. L'invitation se limite à une conversation.

    @ Didier

    Dans le Magicien d'Oz par exemple... Je vous imagine assez bien dans le rôle du lion pétochard (un rapide wikisurf vous mènera chez W.J. Bryan, qui eût certaines postures assez proches des vôtres) suivant Dorothy le long du sentier doré.

    Je laisse à vos soins le reste du casting (Manuel a de très jolis vernis rouges au besoin).

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  8. Une conversation c'est déjà un pas inimaginable il y a quelques semaines... Tu as bu ou fumé ce matin?

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  9. Le calme, le soleil et la pluie, l'observation d'un frelon sur le plafond de la chambre... toutes ces petites choses qui font que les vacances évacuent l'agressivité stockée dans un quotidien citadin, rien d'autre !

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  10. Bon, alors attends que j'arrive et t'auras du soleil, de la pluie et des frelons comme tu en rêves. Je te filerai même Juppé/Hernandez

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  11. Une relation démarre sous nos yeux entre un communiste et un réactionnaire. Que c'est beau.

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  12. La relation n'est pas nouvelle, mais elle évolue en ce moment.

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  13. Ne vous emballez pas les midinettes...

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