Je rentre d'un petit périple gastronomique et alcoolique familial et fêtard, je n'ai donc pas vraiment pu m'exprimer sur ce blog. C'est pas évident de tripoter le clavier des autres...
Je vais donc me lancer avec un sujet des plus légers, les anonymes!
Au début, j'étais content d'en trouver, car un commentaire anonyme, même con, c'est mieux que rien, mais nous grandissons, nous commençons à avoir des lecteurs et commentateurs assidus et intéressants, je suis donc moins dans le besoin de reconnaissance, et franchement j'ai souvent envie de les envoyer chier.
La première chose que je voudrais leur expliquer, c'est que s'il choisissent l'option de commentaire NOM/URL, ils ne sont pas obligés de mettre leur vrai nom... Et oui, on accepte les pseudos! Je serais d'ailleurs ravi de discuter un jour avec Johnny ou Kouyalere.
Donc cette précision apportée, j'espère qu'ils auront un petit d'imagination et de courage.
En plus ça facilitera grandement nos échanges, car comme j'en ai discuté avec Mathieu hier , comment répondre à 2 anonymes? Qui est qui?
De toute façon, l'anonyme est à usage unique en général, il écrit, gueule, demande, on lui répond, explique, dit qu'il est con, mais jamais il ne réagit à nouveau... Revient il lire? N'ose-t-il pas s'exprimer? Ou est il un lecteur unique, qui disparaît après commentaire?
J'en viens au point crucial, s'il existe des cons qui ont compris le système du pseudo (lire plus haut), la densité de connerie est quand même anormalement forte parmi les anonymes...
On a les anonymes agressifs, les anonymes incompréhensibles, les anonymes qui ne comprennent rien, les anonymes qui nous envoient un copié collé de 250 lignes pour faire passer leur message révolutionnaire, tout un panel quoi.
Je ne vais pas interdire les anonymes, même si l'option existe, car la connerie fait rire de temps en temps, on verra si ce billet change quelque chose...
Bon courage. On a toujours affaire à un anonyme, ou un simple pseudo sans lien précisant qui est ce personnage, qui viendra t'attaquer, t'insulter, t'emmerder. Pas débattre non. On peut ne pas être d'accord, mais bon...
RépondreSupprimerDes fois c'est dur, ça énerve. Et puis après, c'est con mais tu t'habitues aux cons anonymes. Cons lâches, souvent intolérants... Mais anonymes, tellement efficaces le clavier et l'écran qui prétend te rendre anonyme...
Que cela ne nous empeche pas de blogguer, et de passer des bons moments quand même :)) Pour un connard, tellement de gens biens à rencontrer ;-)
Que le con se dote d'un pseudo, ça sera plus rigolo.
RépondreSupprimerJe taille un peu les anonymes dans ce billet, mais y'a du con très con chez les blogueurs!
"y'a du con très con chez les blogueurs!" --> Ouh là oui !!!
RépondreSupprimerMais attention... Comme dit le philosophe : "on est toujours le con d'un autre"... Ca appelle à l'humilitude ^___^
Bonne soirée
@Falcon
RépondreSupprimerQui t'a parlé de ma collection de maquettes de guitares en allumettes ????
Et non, je ne suis pas libre pour dîner....
Euh Fabrice...??
RépondreSupprimerFaucon, je suis fier de ma connerie!
Le dîner de cons, un film qui est sorti pendant ta période germanique...
RépondreSupprimerSi tu rates tous mes clins d'œil on va pas progresser !
Ouh la la...
RépondreSupprimerManuel : et on va pas en avoir honte non plus ^____^
RépondreSupprimerSinon pour les privates jokes, pas pendant que je bloggue en regardant un épisode d'XFiles, je comprends pas top.
Donc je vous souhaite à tous une chouette soirée, et un bon dimanche (attention, il fera froid demain) :-)))
@Faucon
RépondreSupprimerEuh moi j'ai -7 dehors là, alors le froid de demain est très relatif... (vive la campagne j'vous jure !)
@ Fabrice : aux Lilas, -7°C aussi. Comme quoi, c'est général pour une fois.
RépondreSupprimerJe ne peux pas jouer au jeu de degrés, pas de thermomètre en Haute Savoie, mais on ne doit pas être mal non plus.
RépondreSupprimer"pas de thermomètre en Haute Savoie"...
RépondreSupprimerça fait peur ces régions imperméables aux nouvelles technologies ;)
Ben on compte justement sur vous les grands frères de la Capitale pour nous initier au bonheur de la technologie parisienne...
RépondreSupprimer