En ce moment, une chaîne contamine la blogosphère et dévoile les secrets machistes inavouables de ses participants bloggeurs.
Je ne pensais pas vraiment revenir sur le sujet, mais une conversation avec mon ami Fabrice, au cours de laquelle il sous-entend que je suis un affreux machiste rétrograde, me motive à le faire.
En fait, je remarque que cette chaîne machiste est fait une espèce de test à la Facebook du genre « Quel type de macho êtes-vous », mais sans les réponses et les fautes d’orthographes.
Au vu de ma difficulté à trouver des exemples concrets de mon supposé machisme, j’en ai déduit que finalement, malgré les apparences, je n’en étais pas un.
Je parle d’apparence, car j’ai un problème, celui de la provocation envers les femmes ayant un penchant féministe. Les bonnes blagues misogynes, les belles allusions machistes comme on n’en entend quasiment plus de nos jours, j’adore ça. Et si elle mord à l’hameçon, alors j’envoie généralement l’artillerie lourde. Le problème, c’est qu’ensuite, j’ai un déficit de sympathie à rattraper, souvent par le biais du conjoint bien emmerdé d’avoir un pote fouteur de merde, mais bon, tant que je me marre…
Le truc c’est qu’en France, en Allemagne (le reste de l’Europe, je ne connais pas), le macho est une vile créature méprisée par la gente féminine et même par la société dans son ensemble. Ce qui est étonnant, c’est que les machos que j’ai connu sont les mecs ayant eu, et de loin, le plus de succès avec les femmes.
Il y a un truc qui m’échappe dans cette équation…
Ben en fait il y a une logique, car si c’est le temps de la mode égalitaire, des hommes qui font la vaisselle, qui donnent le sein et passent l’aspirateur, il reste quand même un grand nombre de nanas qui tombent pour un type sûr de lui, qui en impose.
Car le macho a des côtés qui plaisent, le côté roc sur lequel se reposer, une virilité qui peut faire des ravages et j’en passe probablement…
Tout comme nous autres, hommes, n’avons pas tous les mêmes goûts, ben les femmes non plus, toutes n’aiment pas forcément le romantique sensible.
Fabrice, Mathieu et moi n’aimons pas le même type de femmes, et je ne parle pas de physique, alors pourquoi les femmes n’aimeraient-elles plus les mecs qui n’en-n’ont?
J’ai l’impression que le mec qui se féminise ou se fiottise lentement mais sûrement veut se persuader, et avec lui aussi le reste du monde, que l’homme doit être comme lui et pas autrement. Le macho est donc un pauv’ type, pas sûr de lui ni de sa virilité qui joue aux durs pour se rassurer, je schématise un propos entendu. Elle serait simple la vie si c’était comme ça…
Ben non, et en plus le macho ne met pas systématiquement des torgnoles à sa nana, ne la trompe pas non plus forcément, il fonctionne juste différemment, et beaucoup de nanas y trouvent leur compte…
Autre chose, si je m’amuse tant à provoquer la femme féministe, j’en prends parfois plein la gueule, et bien souvent, je suis très surpris car ma provoc’ n’en était qu’à ses balbutiements et j’étais en fait encore en train de parler vrai.
Je ne pourrais plus vivre avec une femme ne sachant pas cuisiner…
Tentez la celle là, y’a du retour !
Si ma fille me ramène un mec qui ne me revient pas, ça va chauffer et le gus risque de ne plus avoir envie de revoir ma fille…
Effet garanti, un must!
Je ne conçois absolument pas que mon gosse se retrouve à la crèche ou chez la nounou à partir de quelques mois…
Là, j’ai même pas le temps de proposer d’arrêter de bosser moi-même que la mitraillette envoie ses rafales de plomb!
J’en ai d’autres, mais bon, je vais faire un billet dico des conneries qui énervent certaines femmes…
Le plus rigolo dans l’histoire, c’est que ma femme, plutôt autoritaire comme nana, elle aimerait parfois que je sois un peu plus macho, et peine à comprendre comment j’arrive à passer pour tel aussi souvent et aussi facilement…
En tout cas, je continuerai à emmerder la féministe et je à me moquer de cette diabolisation risible du macho.
Il serait intéressant d'étudier l'impact qu'à l'éducation sur le modèle patriarcal sur les choix de partenaires.
RépondreSupprimerL'exemple des femmes battues qui continuent à aimer leur mari me laisse perplexe...
Sinon j'ai beaucoup ri : ta femme "plutôt" autoritaire. On a passé un dimanche matin à tourner à la recherche d'un débouche chiottes alors qu'on voulait juste dormir et elle est juste "plutôt" autoritaire ? C'est un dragon oui !
Comparer une femme battue à une femme aimant le type masculin plutôt macho, c'est vraiment mal placé et réducteur.
RépondreSupprimerPour devenir une femme battue il a bien fallu qu'elle s'intéresse d'abord à l'archétype du mâle dominateur non ?
RépondreSupprimerToutes les nanas s'intéressant aux macho ne sont pas battues, heureusement, mais une femme court plus de risque de le devenir en acceptant le rôle de soumise qu'en choisissant un partenaire plus "féminisé".
Faudrait voir si l'homme "mâle dominateur" frappe plus sa femme que les autres; c'est pas sûr. N'oublions pas que l'alcool tient un rôle central dans la violence conjugale.
RépondreSupprimerPour ta dernière phrase, je te répondrais que je cours plus de risque à mourir dans un crash en prenant l'avion pour le japon qu'en allant en vacances au club med du coin, mais je le fais quand même.
l'alccol peut être considéré comme un outil viriliste (c'est surtout les hommes qui picolent, les femmes font "attention") de domination et d'oppression, vu dans des couples (dont le mien) et au taf.
Supprimerle mâle dominateur n'utilise pas forcément la pression physique, il existe bien des méthodes psychologiques pour exercer une coercition aussi efficace. Et l'alcool n'est qu'un désinhibant, il ne provoque rien qui ne soit déjà ancré en toi. Si un mec frappe sa femme c'est l'expression d'une volonté de domination, certainement pas d'une volonté de soumission.
RépondreSupprimerPour la dernière phrase je te répondrai à mon tour que c'est ton choix en effet, mais qu'en toute étude statistique tu auras plus de risque à mourir d'un accident d'avion si tu prends l'avion que si tu prends le train. Le risque c'est une question de statistiques pas autre chose.
Et le faiblard qui se claque sa femme (physiquement ou psychologiquement)? Je ne suis tout bonnement pas certain qu'un macho ait plus de chances de violenter sa femme qu'un autre, il doit bien exister des chiffres je suppose.
RépondreSupprimerEn tout cas, pour moi, l'équilibre est important, et si celui existe dans un couple, alors je ne me permettrais pas de juger, même si je peux être quelque peu surpris.
Mais la fiote masculine absolue me choque autant sinon plus que la relation macho-soumise.
Le faiblard face à toi peut être un macho complet face à sa femme. La lâcheté face au danger implique souvent un grand courage face à la facilité.
RépondreSupprimerNe confonds pas macho et "mec musclé", tu es plus macho que moi mais je te plie en 4 quand je veux.
Je crois que nous avons une vision différente du macho, la tienne étant essentiellement négative, j'ai l'impression. Pour ma part, je rapporte en grande partie ce que me dit ma femme en la matière, et d'après elle un homme à l'attitude macho est très charmant, sexy, rassurant et donc attractif. D'après elle, pouvoir se laisser mener par un homme sûr de lui et fort c'est agréable.
RépondreSupprimerDonc associer systématique le macho avec une saloperie, je ne te suis pas la dessus.
Et quand tu parles de mon manque d'ironie dans ton billet sur le machisme, je te parlerai d'une récurrence douteuse de ton ironie...
Gardons-nous bien de nous moquer des féministes en particulier...
RépondreSupprimerJe pense, camarade, que tu confonds deux situations différentes.
RépondreSupprimerA mon sens, tu abordes la question de la conception masculine que nous avons de nous. Qu'est-ce qu'un homme ? Pour beaucoup, et pour moi entre autres, l'homme reste ancré dans une vieille tradition patriarcale, et nous adoptons, malgré la modernisation de notre société, certains traits de nos pères et de nos grands-pères, voire de plus loin. Nos conjointes ont aussi reçu cette éducation et cherchent donc, je pense, la même chose, même si elles ont évolué.
Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas eu progrès. J'ai beau avoir des côtés machos, je le suis bien moins que mes grand-pères, qui n'ont, je pense, jamais cuisiné une repas de leur vie, passant de la mère à la femme sans étape aucune. Le temps de travail domestique est mieux partagé, même si la répartition de charge reste encore très inégalitaire.
Dans les commentaires, vous parlez de l'homme violent, c'est-à-dire de l'homme qui prend plaisir à matraquer la tronche de sa femme. A mon sens, macho n'est pas le terme adéquat.
La machine à laver le linge partage les tâches elle-aussi.
RépondreSupprimerJe ne moque pas des féministes dans ce billet, mais sinon, oui je me moque très souvent...
RépondreSupprimerEn effet Mathieu, nous sommes moins traditionnels que nos grands parents...
Je ne comprends juste pas volonté de vouloir placer homme et femme sur le même plan, égalité bien sûr, c'est la base de la démocratie, mais spécificités aussi, une femme n'a pas les mêmes forces ou faiblesses qu'un homme, chacun prend sa place dans un couple, ensuite savoir qui fait la vaisselle, qui ramène le fric, qui récure les chiottes, je m'en fous, il faut simplement un équilibre équitable.
Ma femme ne veut absolument pas porter sur ses épaules la responsabilité financière du foyer, mais elle fait le cuisine, est-ce que je suis un vile macho traditionaliste?
Mtislav, oui la machine à laver le linge partage les tâches... La femme met le linge dedans et l'homme oublie de l'en sortir et de l'étendre, alors la femme gueule...
@ Manuel : je pense que ces différences de comportement des sexes sont liées à nos cultures. La preuve en est que les femmes et les hommes sont différents d'une nation à l'autre, voire d'une région à l'autre. L'intéressant serait de savoir pourquoi ta femme se place hors du stéréotype de la femme japonaise.
RépondreSupprimerBien entendu que ces différences de comportement sont liées à nos cultures, tout est liée à nos cultures. Simplement équilibre ne veut pas dire partage parfait des tâches, chacun a ses domaines de prédilection. Chacun fait qu'il fait le mieux, et les tâches ne sont pas que ménagères mais sont également les responsabilités psychologiques, économiques. Je me répète. Ma femme ne sort pas tant du stéréotype japonais que tu l'imagines, mais ce n'est pas intéressant.
RépondreSupprimer@ Manuel : pour la peine, j'en parlerai avec elle la prochaine fois que je la verrai. Parce que cela m'intéresse...
RépondreSupprimerLà, tu parles d'une relation entre deux individus, dans laquelle le sexe n'a plus vraiment d'importance.
MACHO
RépondreSupprimerLes eunuques ont pris place dans notre société émasculée. Toute une génération qui se sent à l'aise dans ce monde de caniches. Il ont leur leur roi -couronné de dentelles- et ce roi s'appelle Dupont, leur olympe -le poulailler-, leurs lois -le code des pédés-, leurs grands centres de féminisation aussi, nommés "médias", "république", "publicité".
Leur pire ennemi : la virilité. Leur credo : la castration. Leurs opinions : celles de leur femme.
Poules d'eau vêtues de tutus mentaux, mauviettes mouillées dans les affaires de tata, héros du métro chaussés de pantoufles, ces roquets à la dent molle prônent le nivellement des sexes, l'édulcoration des genres, voire le total rabaissement phallique, confondant volontiers la morale du mâle avec le code du parfait châtré.
Ils ont une fierté de limace, des intentions de toutous, des revendications de soumis.
Persuadés de respecter la femme parce qu'ils la laissent démocratiquement piétiner leur épée de son talon-aiguille (ce fer-de-lance de la volaille en révolution), tordre leur marbre originel devenu bâton de guimauve, briser leur double vase solaire, ils sont devenus féministes, sodomites, avorteurs...
Et prennent leur dévirilisation pour de la galanterie.
Rasés de la tête aux pieds, annelés comme des bestiaux matés et adoptant les moeurs veules, plates, flasques des hôtes des potagers, ils ont fini par arborer la face placide des pantins poltrons, singer les allures ternes des mignons moineaux de mai...
Au nom de la parité Mars-Vénus ces jolis sont d'accord avec toute avancée de la cause pourvu que leur panache piteux de coquelets déplumés ne dépasse pas la permanente des porteuses de jupes qui les tiennent en laisse...
Après avoir lamentablement poussé les caddys de supermarchés, ces torcheurs de nourrissons s'attèlent aux landeaux... Ils donnent même le biberon ! A quand l'allaitement ?
Moi je suis un macho, un vrai. Sans chaîne.
Mâle immémorial, héritier sain de mes gamètes intacts, imperméable aux siècles, antipathique mais authentique, nulle femme ne saurait me dénaturer.
Je suis un dominant, un vainqueur, un lion.
Porteur du sceptre qui désigne l'astre masculin auquel je m'identifie, je sais où est la place de l'homme et où est celle de la femme.
J'ai avec moi l'autorité innée de ceux qui ont conscience d'être fils de Râ et s'en glorifient. Au lieu d'en rougir devant l'autel mensonger des féministes.
Un mâle est un seigneur, la femme son naturel laudateur.
C'est la loi.
La loi des sexes, non celle du siècle. Toute descendante d'Eve qui se révolte contre la souveraineté de son demi-dieu n'est pas digne de se faire ensemencer. La gloire de la femme est dans les germes d'humanité qu'elle porte en son sein, non dans le venin du féminisme qu'elle inocule à son maître.
Je suis un macho, un pur, un dur, sans artifice. Ma pensée est de fer, mon front est lumineux, mon flanc divin.
Mon regard choisit, ma main désigne, mon bras décide, la femme dit oui.
Borné, moi ?
Non, simplement burné.
Raphaël Zacharie de IZARRA
raphael.de-izarra@wanadoo.fr
Jolie provoc'... C'est bien de la provoc', n'est-ce pas?
RépondreSupprimerdeja ce que vous racontez sur les femmes battuent c'est vraiment de grosses conneries car le compagnon violent n'est pas forcement macho au premiere abort et la violence ne s'installe pas comme ça du jour au lendemain elle s'intalle petite à petie.ses hommes sont avant des manipulateur ils sont plusieurs casquette pour assouvir leur victimes/compagne! ils passent pas differents stade pour bien les manipuler et les faire douter d'elle! au debut il se montrera tres ouvert comprehensif tres loin du macho et ça peu durer des mois! en fait c'est un piege pour que sa femme/victime soit bien en sa possetion! ensuite il va tombé le masque ça va commencer par des brimades alors là la femme va croire que ça vient t'elle elle va se remettre en quetion ...ensuite ce manipulateur va remettre son masque de gentil mari puis de nouveau devenir menaçant dire que tout est la faute de la femme la rabaisser voir la taper puis remettre son masque de gentil! ces hommes sont des verminent et leur plans se develloppent sur des années et pas en quelques jopurs voir mois! donc arrettez de dire autant de conneries car il tres difficile de se liberer de ce genre de personnes surtout si c'est la premiere fois que ça arrive! et il y a des femmes! on peu pas dire que la femme est battu car elle a choisi un gros macho c'est une vison tres deplacé et tres simpliste vu que les hommes violents ont plusieurs casquettes ils jouent avec les sentiments emotion de sa compagne et il se met toujours à la place de la victimes ces types n o,t aucune ampathie ou sentiments il sont vide! ca s appelle des pervers narcissique! alors avnt de debiter vos conneries allez vous renseigner!
RépondreSupprimerLe sujet n'était pas la femme battue, mais le macho et la féministe. Sinon la signature est la bienvenue, surtout quand on se montre aussi virulent(e).
RépondreSupprimerPOUR UNE SOCIÉTÉ MACHISTE
RépondreSupprimerLe mâle doit reprendre le pouvoir.
Retrouver sa puissance naturelle, reconquérir son territoire hormonal bafoué par les homosexuels et les suffragettes pervertis à la cause des épilés, des émasculés, des chochottes.
Magistralement, faire face à l’hérésie féministe de notre société falsifiée, aseptisée, déculottée.
L’homme est né souverain, seigneur, maître, la femme est faite pour s’épanouir sous l’autorité phallocrate.
La flamme machiste a été étouffée par ces esprits dénaturés prônant l’édulcoration des sexes. A cause de ces rebelles aux lois génésiques, la domination virile a été tournée en dérision, la féminine inconsistance portée aux nues.
Les femelles sont devenues des poupées politisées, des coquilles vides, des plante folles, des paillasses froides, des pintades hystériques. La dignité de l’homme a été piétinée par les talons-aiguilles de cette volaille remplumée d’impostures et d’illusions.
Sous prétexte d’égalité républicaine on a voulu effacer les fondamentales différences entre les genres.
Ce mensonge, vertigineux, est d’envergure cosmique : l’ordre originel a été inversé, des principes sacrés ont été violés, le faux “dindonesque” a pris la place du vrai divin, l’artifice temporel a remplacé l’éclat éternel.
Bref, la femme “libérée” se retrouve seule, abandonnée à son sort d’insoumise, pauvre Lune séparée de la moitié de l’Univers, pion asexué égal à son ennemi le mâle sur l’échiquier de sa féminine bêtise...
Pareille à l’homme qu’elle veut singer : réduite à devoir travailler, accepter d’être traitée sans égard pour son sexe, d’être considérée comme l’herbe commune, non comme la belle exception.
L’indifférenciation jusque dans ses plus intimes splendeurs...
La recherche la plus aberrante de son propre mépris.
Et il en est de même en ce qui concerne la plupart des hommes gâtés par cette idéologie niant la gloire des sexes. Tous des nains, des frileux, des pleutres.
Moi je suis demeuré intègre, je suis un macho, un dominant, un cerf, un fruit sain issu d’une pensée saine, un astre majeur qui illumine le front de toute femme se prosternant à ses pieds.
VOIR LA VIDEO :
http://www.dailymotion.com/video/x15f0nh_pour-une-societe-machiste-raphael-zacharie-de-izarra_news
Raphaël Zacharie de IZARRA